« Suite » Helle Damkjaer Solo Show
« Suite » Helle Damkjaer Solo Show
Du 17 ou 31 octobre 2024, la galerie présente « Suite », une exposition consacrée aux dernières créations de la céramiste Helle Damkjaer.
Vibrant hommage à la créativité et au savoir-faire des femmes dans le domaine de la céramique, l’exposition « Earth and Art: Women Ceramicists » promet de captiver les amateurs d’art comme les collectionneurs.
Elle réunira huit céramistes femmes, artistes confirmées ou émergentes. Les visiteurs auront l’occasion de rencontrer certaines d’entre elles et de découvrir leurs sources d’inspiration ainsi que les histoires qui se cachent derrière leurs créations.
Pour sa participation à la Paris Design Week 2023, la galerie Carole Decombe est heureuse de présenter « Untitled #1 – PDW 2023 », une exposition collective rassemblant les nouvelles créations inédites des artistes phares de la galerie – miroirs de Nicolas et Sébastien Reese, appliques, lampes et sculptures des céramistes Isabelle Sicart , Helle Damkjaer, Patricia Roach, les dernières pièces des designers Emmanuel Levet Stenne, Marion Agnel-Guidoni et les oeuvres de l’artiste Manuela Paul Cavallier.
Ce sera également l’occasion de montrer pour la toute première fois de nouveaux créateurs: le duo Noue, qui travaille le laiton et le bois, le sculpteur Romain Paris Garnault, ainsi que la créatrice Caroline Scholl.
Leurs pièces seront montrées en regard d’une sélection d’objets décoratifs et de meubles du 20e siècle créant ainsi un dialogue entre les genres et les époques, parti pris premier de la galeriste.
La Galerie Carole Decombe a le plaisir d’annoncer le lancement de sa nouvelle boutique-galerie, LOULOU, créée par Carole et sa fille, Lorraine Decombe.
La boutique célébrera son ouverture le samedi 18 février, à l’occasion de Frieze Los Angeles.
Seront présentées une sélection exclusive d’œuvres d’art, de pièces de design et de créations de mode.
La galerie-boutique Loulou prend l’allure d’un boudoir : un espace privé, intime et raffiné. La boutique propose une sélection d’œuvres issues de la collection de la Galerie Carole Decombe. Chaque pièce est unique par son savoir-faire, choisie avec soin pour son caractère exclusif. Le design mène naturellement à la mode, et la majorité des pièces proposées sont en édition limitée, en petite série, voire uniques — la durabilité étant également au cœur de leurs engagements.
Loulou choisit de représenter des marques partageant les mêmes valeurs, telles que Julie de Libran Paris, Manuelle Guibal, Alexandra Latour, Junichi Hakamaki, Nathalie Seiller Dejean, entre autres.
Le Salon Art + Design est de retour à New York, au Park Avenue Armory, du 10 au 14 novembre 2022.
La Galerie Carole Decombe est ravie de participer à cette aventure pour la première fois, elle y dévoilera pour l’occasion des créations inédites. Les artistes qu’elle suit depuis de nombreuses années seront présents : Helle Damkjaer, Isabelle Sicart, Emmanuel Levet-Stenne, Nicolas Reese et Sébastien Reese. Ce sera également l’occasion de montrer pour la première fois les pièces uniques en cire de l’artiste Mona Oren, le travail de tissage artisanale de la créatrice textile Stéphanie Lacoste et l’œuvre en céramique de la sculptrice Godeleine de Rosamel.
L’idée phare du Salon cette année est de montrer comment les décorateurs et collectionneurs d’aujourd’hui intègrent des objets d’art de grande qualité non seulement dans leur collection mais aussi dans leur environnement. Ce salon est reconnu pour montrer une sélection pointue des meilleures pièces de design – vintage, moderne et contemporaine – ainsi que des pièces anciennes d’exception, toutes choisies par des galeries d’art et de design venant du monde entier, mettant en lumière les dernières tendances internationales.
L’ exposition UCCELLI & NUVOLE est un projet initié par la céramiste ISABELLE SICART et le designer FRANCESCO BALZANO. Forts de l’intérêt partagé qu’ils ont pour leur travail respectif, tous deux se rencontrent il y a quelques années et initient rapidement l’idée d’une collaboration mêlant dessin et matière…
A l’occasion du lancement de sa e-boutique, la galerie Carole Decombe – Paris se transforme en Pop-Up store pour les fêtes de fin d’année. L’occasion de voir les pièces disponibles en ligne : lampes, appliques, sculptures et objets d’art inédits des artistes résidents mais également de nouveaux venus.
Après avoir exposé ses oeuvres d’art décoratif (Nicolas & Sébastien Reese), la galerie Carole Decombe est heureuse de présenter pour la première fois les peintures et dessins de Nicholas Reese.
Du mardi 6 septembre au vendredi 14 octobre 2016, la galerie Carole Decombe présentera Zeugma 2, second volet d’une exposition collective rassemblant les talents de 4 artistes – Emmanuel Levet Stenne (designer), Isabelle Sicart (céramiste) et Nicolas et Sébastien Reese (décorateurs) – dont le premier avait eu lieu en 2014.
Ils ont aimé travailler ensemble et forts de cette expérience enrichissante, ils ont réfléchi à nouveau pour créer des oeuvres inédites, conçues et réalisées en étroite collaboration. Certaines pièces personnelles éclaireront les oeuvres à 4 mains, toutes sont étonnantes, entre douceur et rigueur, alliant des matériaux divers qui s’épousent et se contraignent dans des jeux de courbes et de contre-courbes.
Cette année, un grand thème inspire les galeristes et antiquaires du Carré Rive Gauche : les « femme(s) ». Un sujet qui résonne comme une évidence pour la Galerie Carole Decombe. Son exposition « Femmes, Femmes, Femmes »montrera les dernières créations de ces artistes femmes que la galerie suit depuis son ouverture: Isabelle Sicart, céramiste, Manuela Paul-Cavallier, peintre et doreuse, Valérie Kling et Agnès Baillon, sculpteurs, Diana Lui et LiliRoze photographes. Quelles soient esthétiques, poétiques ou politiques, les oeuvres seront à l’image de leurs créatrices, inspirées et talentueuses. Fidèle à sa volonté de croiser le monde décoratif du XXème à celui du XXIème, la galerie mêlera ces créations contemporaines aux pièces de mobilier scandinave dessinées et conçues par Nanna Ditzel, designer danoise qui a marqué les arts décoratifs par sa personnalité. Entrepreneuse audacieuse, ses oeuvres toujours novatrices restent intemporelles.
Du 29 mars au 3 mai 2016, la galerie Carole Decombe présente l’exposition « Intensité Sensible » qui réunit le travail de deux sculpteurs, Agnès Baillon et Eric de Dormael. L’un travaille la résine et le papier mâché pour des œuvres figuratives, l’autre le laiton et la lumière dans des créations abstraites. Leurs univers semblent donc bien différents, pourtant entre eux, le courant passe, le dialogue s’installe et le charme opère. En couple dans la vie, et exceptionnellement pour la galerie, ils réalisent des pièces exclusives en duo.
Sensuelle, énigmatique, divine! La féminité est au cœur du travail de la photographe LiLiROZE et de la série inédite qu’elle a réalisée en exclusivité pour la Galerie Carole Decombe.
LiLiROZE travaille à la lumière naturelle et utilise une technique très personnelle où la chambre photographique et les films instantanés côtoient le numérique. Loin de la photo réaliste, à la limite de la peinture, elle retranscrit avec sensibilité et poésie une impression, le souvenir d’une sensation, donnant l’illusion de pénétrer dans l’intimité de ses modèles.
Le Mouvement Moderne apparait vers 1925, héritiers du Bauhaus les designers modernistes placent la fonction au coeur de leurs créations avec pour objectif d’améliorer la vie quotidienne des masses. Ils préconisent l’épuration des formes, la suppression des ornementations, la préservation des qualités inhérentes aux matériaux naturels et refusent que l’architecture ne soit qu’un exercice esthétique réservé aux élites. Parallèlement quelques designers, sensibles aux potentialités du XXe siècle et aux merveilles de l’industrie moderne, partagèrent le sentiment que le design industriel et les produits fabriqués par la machine pouvaient représenter, de la même manière que les techniques traditionnelles, une expression artistique valable en soi.
Les impératifs modernes de fonctionnalisme et de rationalisme s’imposent également dans les pays scandinaves, avant la seconde guerre mondiale. On remarque malgré tout que dans le travail des designers la nature est omniprésente, les formes sont organiques et les matières naturelles sont privilégiées. Par exemple, loin de la fascination de ses pairs pour l’esthétique de la machine et trouvant l’usage du fer et du verre trop froid pour la réalisation de mobilier, Alvar Aalto parvient, à force de prouesses techniques, à introduire la courbe dans ses créations. Il privilégie le confort grâce à des formes plus organiques au détriment de la doctrine.
« Un bel environnement domestique ne peut que contribuer à rendre les gens plus heureux ». Cet adage imprégnera également avec ampleur le monde des arts décoratifs scandinaves.
Ainsi au début du XXe siècle, l’écrivaine suédoise Ellen Key élabore une théorie selon laquelle certains problèmes sociaux peuvent se résoudre par la création de beaux objets. L’Exposition de la Maison à Stockholm en 1917 diffuse cette théorie, qui sera incarnée par « l’Arbetarservisen » créé par Wilhelm Käge, un service de table destiné aux ouvriers, considéré comme la première création produite de manière industrielle reflétant cette idéologie scandinave, alliant fonctionnalité et esthétisme.
Depuis sa naissance vers 1920, le design scandinave est resté porté par une éthique morale humaniste dont les origines sont en partie issues du Luthéranisme – religion d’état dans quatre des pays scandinaves – qui insiste sur la vérité et la raison et enseigne que le salut peut s’atteindre par un travail honnête, au bénéfice de son prochain. C’est cette croyance morale en des impératifs sociaux qui constitue le terreau philosophique sur lequel le design scandinave a prospéré.
Les créateurs scandinaves, dans leur recherche d’objets domestiques à la fois peu coûteux, beaux et pratiques, ont adopté une position répondant à une interprétation humaniste des principes formels, techniques et esthétiques propres au Modernisme. Pour la majorité d’entre eux, le design n’apparaît pas seulement comme partie intégrante de la vie quotidienne mais comme l’un des facteurs du changement social.
L’objectif premier est un idéal social et l’amélioration de la qualité de vie, en s’appuyant sur une technologie et des produits appropriés et financièrement abordables.
Aujourd’hui encore le design scandinave demeure une référence inépuisable pour les productions contemporaines, car les valeurs qu’il véhicule demeurent très actuelles : des oeuvres fonctionnelles, esthétiques, audacieuses et respectueuses de l’environnement.
A partir du 28 janvier 2016 avec « Humanist Modernism, Winter Exhibition », la galerie montrera comment les designers scandinaves ont adopté une vision humaniste en mêlant les principes du modernisme international aux traditions artisanales régionales. Et pour cela, elle exposera des meubles en bois qui témoignent de la créativité des designers qui ont réinventé les traditionnels meubles en pin en créant des nouvelles formes extrêmement simples, table et fauteuils d’Axel Einar Hjorth et de David Bloomberg (photo), mais aussi des lampes et appliques en céramique de la fabrique Kähler…
Sculptures de Lumière – Photographies – Parures de tête
Valérie Kling – LiliRoze – Nathalie Seiller Dejean
A l’origine de cette exposition à six mains, le désir de Carole Decombe de faire connaître le travail de deux artistes et une créatrice aux univers proches, empreints de poésie, qui cultivent des savoir-faire complexes et une démarche faisant la part belle à l’imaginaire. Si les présenter ensemble s’est imposé comme une évidence, la Galerie a souhaité aller plus loin les entrainant dans une collaboration inédite.
Le déracinement, l’identité, l’origine et l’essence de l’être sont au cœur de la création de Diana Lui, photographe, artiste plasticienne et réalisatrice. Equipée d’une chambre photographique grand format 20x25cm, elle poursuit depuis plus de vingt ans un projet artistique qui porte sur ce qu’elle nomme ses portraits « intimes, psychologiques, anthropologiques » de personnes rencontrées au gré de ses voyages à travers le monde…
La galerie Carole Decombe présente Diana Lui, « Cités des Immortels » du 26 mars au 26 mai 2013.
Diana Lui, photographe franco-belge d’origine chinoise de Malaisie a étudié en Californie, tout d’abord à UCLA puis à l’école d’Art et de Design de Pasadena. Elle y apprend toutes les techniques de la photographie mais également le dessin, la peinture, la gravure.
Diana vit à Paris depuis longtemps, son travail est présenté dans le monde entier, elle enchaîne les expositions personnelles et collectives. Son travail fait partie de collections institutionnelles comme la BNF à Paris, le Museo Bellas Arte à Caracas, le musée des beaux-arts de Canton…
Son projet photographique commencé il y a plus de vingt ans, consiste à voyager de par le monde avec son appareil grande chambre (20 x 25). Elle nous fait découvrir ici des vues prises en Chine et en Russie comme des « paysages sans fin, mythiques, improbables, cependant bien réels. Dans ces espaces vacants, les cités émergeaient de la nuit telles des diamants, inscrites dans les montagnes bleu-velours; les usines s’égrenaient le long d’un désert de neige telles des châteaux d’une époque rendue; les châteaux se dressaient fiers et solitaires telles des tours de guêt ».
Nous sommes heureuses d’avoir travaillé avec Choï pour les tirages argentiques et avec Fanny Boucher pour les héliogravures.
C’est sous le nom de Mydriaz que, depuis 2011, trois artistes – Jennifer Midoz, Cyril Kaleka et Malo du Bouëtiez – présentent leur association de talents. Le choix de ce terme, en lien avec l’optique, n’est pas anodin. Mydriaz jouent avec la lumière, ou plutôt les possibilités qu’offre celle-ci lorsqu’elle illumine le laiton, leur matériau de prédilection.
Du 26 novembre 2015 au 6 janvier 2016, la Galerie Carole Decombe présente l’exposition «Reflection», réunissant les œuvres du trio, luminaires ou pièces de mobilier, elles sont toujours de haute facture et d’une grande poésie.
Un intérieur scandinave est une association d’éléments particuliers, reflets d’une philosophie spécifique aux pays du Nord : Suède, Danemark et Norvège. La notion de foyer y est primordiale, c’est un refuge contre le climat rude et le manque de lumière. Il doit donc être « douillet », comme le veut le concept danois de « Hygge » qui évoque une certaine tendresse ou joie dans le bien-être.
Pour y accéder, les scandinaves privilégient l’utilisation de matériaux naturels – laine, feutre, cuir – , le bois est omniprésent. Les meubles doivent être fonctionnels, les formes sont simplifiées, épurées. Cet essentialisme du design scandinave ne cède rien à l’esthétique évidemment, tout objet ou meuble doit provoquer une satisfaction émotionnelle.
Du 24 septembre au 24 novembre 2015, la Galerie Carole Decombe présente un intérieur de charme scandinave, mêlant les arts décoratifs: des pièces de mobilier de Grete Jalk (photo), Nanna Ditzel, Philip Arctander ou Vilhelm Lauritzen, des céramiques de Gunnar Nylund ou Bjorn Wiinblad et des luminaires d’Hans-Agne Jakobsson.
La création de luminaires joue un rôle central en Scandinavie. Non seulement elle pallie manque de lumière naturelle pendant les longs mois dʼhiver mais elle crée du lien social et ceci depuis de nombreuses années. Parmi les designers scandinaves devenus maîtres en la matière, la Galerie Carole Decombe a choisi de montrer les créations de Hans-Agne Jakobsson (1919-2009), moins connu à lʼinternational que dans sa Suède natale malgré la qualité et lʼoriginalité de son travail. Lʼexposition « Forme et lumière », organisée en collaboration avec Patrick Anselme Kindt-Larsen, présente une sélection originale et éclectique, chaque pièce plus étonnante lʼune que lʼautre. Lustres, appliques, lampadaires et lampes confirmeront lʼinventivité et lʼécriture stylistique très personnelle du créateur.
A l’occasion du Mois de la Photo, la Galerie Carole Decombe met à l’honneur une sélection de photographies de Diana Lui et de LiliROZE: deux femmes photographes aux démarches bien distinctes, une inspiration commune pour aller au coeur de l’intime, un intime bien souvent féminin…
Du 12 mars au 18 avril 2015
En 1956, alors que les tendances du design scandinave privilégient les lignes et les angles droits, la suédoise Kerstin Hörlin Holmquist crée la collection « Paradis », une série de meubles aux formes libres, aux courbes sensuelles et à la féminité espiègle. Du 12 mars au 18 avril 2015, la Galerie Carole Decombe s’envole donc « Au Paradis » d’Holmquist et expose ses divines créations, les fauteuils Eve et Adam, le sofa Paradis, et la chaise longue Jardin des délices.
À l’approche de l’hiver, voilà la Galerie Carole Decombe plongée dans une «blanche humeur», celle des nouvelles créations réalisées spécialement pour la galerie et des pièces inédites de cinq artistes régulièrement exposés dans ses murs.
Emmanuel Levet Stenne, sculpture et design
Diana Lui, photographie
Jeremy Maxwell Wintrebert, verre soufflé
Mauro Mori, sculpture et design
Isabelle Sicart, céramique
Mobilier Scandinave
EN FILIGRANE
EN FILIGRANE
Dans le cadre de l’événement de l’Association du Carré Rive Gauche « Métamorphoses », la Galerie Carole Decombe vous présentera sa métamorphose « En Filigrane », du 3 juin au 14 juillet 2015, où la technique du verre filigrané sera à l’honneur. La Galerie a choisi de mettre en lumière le travail du souffleur de verre Jeremy Maxwell Wintrebert. Ses œuvres « en filigrane » seront exposées en regard d’une pièce du XVIème siècle, montrant ainsi comment une technique ancestrale peut être réinventée et inspirer encore aujourd’hui des créateurs de talent.
Quatre artistes rassemblent leurs talents pour exposer leurs œuvres dans le cadre de l’évènement du Carré Rive Gauche : « Un objet, une histoire ».